2012-06-09T19:03:00+02:00

QCM Pneumologie : Asthme, BPCO, Sarcoidose, Pneumopathies interstitielles, Tuberculose pulmonaire

Publié par Dr.Prosper

QCM Pneumologie : Asthme, BPCO, Sarcoidose, Pneumopathies interstitielles, Tuberculose pulmonaire

 

 

Asthme aigu grave

Questions

1/ Quel est le nombre de décès annuels par asthme aigu grave en France ?

A - moins de 100

B - environ 500

C - environ 2 000

D - environ 5 000

E - plus de 10 000

2/ Vous recevez un patient pour asthme aigu aux urgences. Quels sont les facteurs de

risque d’asthme aigu grave que vous recherchez ?

A - asthme dans un contexte allergique

B - hospitalisation pour asthme dans l’année précédente

C - intolérance à l’aspirine et aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)

D - asthme diagnostiqué dans la petite enfance

E - consultation pour asthme aigu le mois précédent

3/ Vous examinez un patient en crise d’asthme aux urgences. Quels signes cliniques de

gravité devez-vous rechercher ?

A - sueurs profuses

B - fréquence respiratoire > 30/min

C - orthopnée

D - pouls paradoxal > 20 mmHg

E - difficultés à parler

4/ Un asthmatique de 30 ans, de taille 1, 85 m, est examiné aux urgences pour une

exacerbation évoluant depuis 3 jours. Il ne présente pas d’orthopnée et est capable de

faire des phrases courtes. Sa valeur de débit expiratoire de pointe (DEP) est de 200

l/min, manoeuvre correctement effectuée. À votre avis, s’agit-il ?

A - d’une crise d’asthme simple

B - d’une exacerbation sévère

C - d’un asthme aigu grave

D - d’une exacerbation légère

E - d’une crise simple prolongée

5/ Les β2 agonistes, administrés par voie inhalée, ont une action bronchodilatatrice nette

après :

A - 3 à 5 minutes

B - 15 à 20 minutes

C - 30 à 40 minutes

D - 60 à 90 minutes

E - 4 à 6 heures

6/ Les corticoïdes administrés par voie intraveineuse ont un effet sur l’obstruction

bronchique net après :

A - 3 à 5 minutes

B - 15 à 20 minutes

C - 30 à 40 minutes

D - 60 à 90 minutes

E - 4 à 6 heures

 

Réponses

1/ Quel est le nombre de décès annuels par asthme aigu grave en France ?

La réponse est : C. La mortalité par asthme aigu grave est stable, autour de 2 000 par an depuis

plusieurs années.

2/ Vous recevez un patient pour asthme aigu aux urgences. Quels sont les facteurs de

risque d’asthme aigu grave que vous recherchez ?

Les réponses sont : B, C, E. Les crises d’asthme d’origine médicamenteuse sont souvent explosives

et graves.

3/ Vous examinez un patient en crise d’asthme aux urgences. Quels signes cliniques de

gravité devez-vous rechercher ?

Les réponses sont : A, B, C, E. La présence de sueurs profuses témoigne, a priori, d’une

hypercapnie habituellement associée à un volume expiratoire maximal/seconde (VEMS) < à 25 % de

la théorique. La polypnée témoigne de l’impossibilité de réaliser des expirations prolongées, par

contraction des muscles abdominaux, et annonce l’épuisement respiratoire. La mesure du pouls

paradoxal, difficile à réaliser, ne fait pas partie des recommandations.

4/ Un asthmatique de 30 ans, de taille 1, 85 m, est examiné aux urgences pour une

exacerbation évoluant depuis 3 jours. Il ne présente pas d’orthopnée et est capable de

faire des phrases courtes. Sa valeur de débit expiratoire de pointe (DEP) est de 200

l/min, manoeuvre correctement effectuée. À votre avis, s’agit-il ?

La réponse est : C. La valeur mesurée du DEP doit être rapportée à la valeur prédite, dépendante du

sexe, de l’âge et de la taille du sujet. Dans le cas présent (homme jeune et grand), la valeur prédite se

situe autour de 630 l/min. Il s’agit donc probablement d’un asthme aigu grave quelle que soit la durée

d’évolution de la crise.

5/ Les β2 agonistes, administrés par voie inhalée, ont une action bronchodilatatrice nette

après :

La réponse est : A. Les β2 agonistes sont les bronchodilatateurs les plus puissants et les plus

rapides.

6/ Les corticoïdes administrés par voie intraveineuse ont un effet sur l’obstruction

bronchique net après :

La réponse est : E. L’action des corticoïdes est différée de 4 à 6 heures, aussi bien avec la voie

intraveineuse qu’avec la voie orale. La voie intraveineuse n’est pas obligatoire et souvent inutile.

 

 

Définitions et classifications des bronchopneumopathies chroniques

obstructives

Questions

1/ Parmi les éléments suivants concernant la bronchite chronique, l'un est inexact :

A - elle résulte de l’hypersécrétion chronique ou récidivante de mucus

B - elle est à l’origine d’une expectoration au moins 3 mois par an pendant au moins 2 années

consécutives

C - elle ne peut être la conséquence d’une affection cardiaque

D - elle ne peut être la conséquence de bronchiectasies

E - elle est une des manifestations de la BPCO

2/ Parmi les propositions suivantes, laquelle n’autorise pas le diagnostic de BPCO ?

A - la diminution du VEMS

B - la diminution du rapport VEMS/CV

C - la diminution du rapport VEMS/CVL

D - la diminution du rapport VEMS/CVF

E - l’inhalation préalable de bronchodilatateur avant le test

3/ Parmi les caractéristiques concernant le syndrome ventilatoire obstructif, quelle est

la réponse inexacte ?

A - il ne peut être diagnostiqué que par la spirométrie

B - il résulte d’une maladie des petites voies aériennes

C - il résulte d’une destruction parenchymateuse

D - il est défini par un rapport VEMS/CV < 70 %

E - il est toujours dû au tabagisme.

4/ Parmi les propositions suivantes concernant l’emphysème, indiquez celle qui est

erronée :

A - c’est une augmentation au-delà de la normale de la taille des espaces aériens distaux aux

bronchioles terminales avec une destruction de leurs parois

B - il existe deux types d’emphysème dans la BPCO

C - l’emphysème panlobulaire est le plus fréquent

D - l’emphysème panlobulaire atteint toutes les structures de l’acinus

E - l’emphysème panlobulaire est à l’origine d’une hypoxémie précoce lors des exercices

5/ Parmi les étiologies possibles des BPCO, l'une n’est pas fondée :

A - le tabagisme

B - la pollution par des fumées de matières végétales

C - la pollution par des fumées de fuels

D - la pollution atmosphérique urbaine

E - le déficit en alpha-1-antitrypsine

6/ Parmi les propositions suivantes, laquelle correspond à une BPCO grave ?

A - VEMS/CVF < 70 % ; VEMS > 80 % de la valeur théorique

B - VEMS/CVF < 70 % ; 50 % ≤ VEMS < 80 % de la valeur théorique

C - VEMS/CVF < 70 % ; 30 % ≤ VEMS < 50 % de la valeur théorique

D - VEMS/CVF < 70 % VEMS < 30 % de la valeur théorique

E - VEMS < 50 % de la valeur théorique et insuffisance respiratoire chronique

7/ Parmi les éléments suivants, quel est celui qui n’intervient pas dans le calcul de

l’index de Bode ?

A - VEMS (%)

B - distance parcourue en 6 minutes (m)

C - dyspnée (échelle MRC)

D - IMC (kg/m2)

E - l’âge (ans)

 

Réponses

1/ Parmi les éléments suivants concernant la bronchite chronique, l'un est inexact :

La réponse est : E

2/ Parmi les propositions suivantes, laquelle n’autorise pas le diagnostic de BPCO ?

La réponse est : A

3/ Parmi les caractéristiques concernant le syndrome ventilatoire obstructif, quelle est

la réponse inexacte ?

La réponse est : E

4/ Parmi les propositions suivantes concernant l’emphysème, indiquez celle qui est

erronée :

La réponse est : C

5/ Parmi les étiologies possibles des BPCO, l'une n’est pas fondée :

La réponse est : D

6/ Parmi les propositions suivantes, laquelle correspond à une BPCO grave ?

La réponse est : C

7/ Parmi les éléments suivants, quel est celui qui n’intervient pas dans le calcul de

l’index de Bode ?

La réponse est : E

 

Facteurs étiologiques et épidémiologie des bronchopneumopathies

chroniques obstructives (BPCO)

Questions

1/ Parmi les facteurs suivants, citez ceux retrouvés comme prédictifs de la mortalité chez

les patients BPCO :

A - la sévérité de l’obstruction

B - l’état nutritionnel (IMC)

C - la capacité à l’exercice par le test de marche de 6 minutes

D - la sévérité de la dyspnée (index BODE)

E - les comorbidités associées

2/ Que retrouve-t-on parmi les principaux facteurs de risque de la BPCO ?

A - le tabagisme actif

B - les facteurs influant sur la fonction respiratoire au cours de l’enfance

C - les expositions professionnelles

D - les infections

E - l’état nutritionnel

3/ Parmi les traitements prescrits dans la BPCO, quels sont ceux ayant démontré un

effet sur la survie ?

A - l’arrêt du tabac

B - l’oxygénothérapie

C - les bronchodilatateurs

D - la corticothérapie

E - la kinésithérapie respiratoire

 

 

Réponses

1/ Parmi les facteurs suivants, citez ceux retrouvés comme prédictifs de la mortalité chez

les patients BPCO :

Les réponses sont : A, B, C, D

2/ Que retrouve-t-on parmi les principaux facteurs de risque de la BPCO ?

Les réponses sont : A, B, C, D

3/ Parmi les traitements prescrits dans la BPCO, quels sont ceux ayant démontré un

effet sur la survie ?

Les réponses sont : A, B

 

Sarcoïdose

Questions

1/ La sarcoïdose est :

A - consécutive à l’inhalation de béryllium

B - une maladie héréditaire à transmission autosomique dominante

C - une affection systémique d’étiologie indéterminée caractérisée par la formation de granulomes

immunitaires dans les organes atteints

2/ Quelles sont les particularités concernant les granulomes de la sarcoïdose ?

A - présence au niveau de plusieurs organes

B - mise en évidence par biopsies perendoscopiques bronchiques dans plus de 60 % des cas

C - présence possible de nécrose fibrinoïde

D - présence possible de nécrose caséeuse

E - présentation sphérique avec délimitation nette

3/ Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont exactes à propos de la sarcoïdose ?

A - la radiographie de thorax est anormale dans plus de 85 % des cas

B - l’élévation du dosage sérique de l’enzyme de conversion de l’angiotensine I est spécifique de la

sarcoïdose

C - il est établi que la cause de la sarcoïdose est Propionibacterium acnes

D - son incidence est augmentée chez les membres de la famille des cas index touchés par la

sarcoïdose

E - elle est ubiquitaire

4/ Les propositions suivantes concernant le traitement de la sarcoïdose sont-elles

exactes ?

A - la corticothérapie générale lorsqu’elle est indiquée doit être prescrite pour une durée minimale

de douze mois

B - le thalidomide est proposé en cas de localisation pulmonaire sévère devant un échec des

corticoïdes généraux

C - le méthotrexate est contre-indiqué en cas d’alcoolisme chronique non contrôlé

D - le méthotrexate est proposé en cas d’échec ou de mauvaise tolérance des corticoïdes

E - en cas de bloc auriculoventriculaire complet, il faut proposer un entraînement électrosystolique

et une corticothérapie générale

 

Réponses

1/ La sarcoïdose est :

La réponse est : C

2/ Quelles sont les particularités concernant les granulomes de la sarcoïdose ?

Les réponses sont : A, B, C, E

3/ Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont exactes à propos de la sarcoïdose ?

Les réponses sont : A, D, E

4/ Les propositions suivantes concernant le traitement de la sarcoïdose sont-elles

exactes ?

Les réponses sont : A, C, D, E

 

Pneumopathies interstitielles diffuses idiopathiques

Questions

1/ La fibrose pulmonaire idiopathique :

A - est la plus fréquente des pneumopathies interstitielles idiopathiques

B - peut comporter un aspect histopathologique de pneumopathie interstitielle commune ou de

pneumopathie interstitielle non spécifique

C - nécessite toujours une biopsie vidéochirurgicale pour établir le diagnostic

D - débute habituellement entre 50 et 70 ans

E - évolue vers l’insuffisance respiratoire chronique avec une médiane de survie de 3,5 ans

2/ Une efficacité sur la survie a été démontrée au cours de la fibrose pulmonaire

idiopathique pour les traitements suivants :

A - pirfénidone

B - ciclophosphamide

C - azathioprine

D - N-acétyl-cystéine

E - aucun des traitements ci-dessus

3/ Les éléments suivants appartiennent aux critères du diagnostic tomodensitométrique

de la fibrose pulmonaire idiopathique :

A - opacités réticulaires à prédominance sous-pleurale

B - prédominance aux bases

C - plages de condensation alvéolaire

D - images microkystiques sous-pleurales en « rayon de miel »

E - Opacités en verre dépoli

4/ Un aspect histopathologique de pneumopathie interstitielle non spécifique peut se

rencontrer au cours des contextes étiologiques suivants :

A - sclérodermie systémique

B - myopathie idiopathique inflammatoire

C - syndrome de Gougerot-Sjögren

D - prise médicamenteuse

E - exposition à l’amiante

5/ Parmi les affections suivantes, quelles sont celles qui sont considérées comme liées au

tabagisme :

A - pneumopathie interstitielle non spécifique

B - pneumopathie interstitielle desquamative

C - pneumopathie organisée cryptogénique

D - bronchiolite respiratoire avec pneumopathie interstitielle

E - pneumopathie interstitielle aiguë

 

Réponses

1/ La fibrose pulmonaire idiopathique :

Les réponses sont : A, D et E

2/ Une efficacité sur la survie a été démontrée au cours de la fibrose pulmonaire

idiopathique pour les traitements suivants :

La réponse est : E

3/ Les éléments suivants appartiennent aux critères du diagnostic tomodensitométrique

de la fibrose pulmonaire idiopathique :

Les réponses sont : A, B et D

4/ Un aspect histopathologique de pneumopathie interstitielle non spécifique peut se

rencontrer au cours des contextes étiologiques suivants :

Les réponses sont : A, B, C et D

5/ Parmi les affections suivantes, quelles sont celles qui sont considérées comme liées au

tabagisme :

Les réponses sont : B et D

 

 

Tuberculose résistante

Questions

1/ Définition de la tuberculose ultrarésistante (OMS révisé en octobre 2006) :

A - résistance à l’isoniazide + rifampicine

B - résistance à au moins cinq antituberculeux

C - MDR + résistance à un injectable et aux fluoroquinolones

D - résistance à l’isoniazide + rifampicine + trois médicaments de deuxième ligne

2/ L’incidence mondiale de la tuberculose multirésistante est évaluée à :

A - 200 000

B - 400 000

C - 700 000

D - 1 000 0000

3/ Les résultats des méthodes de cultures du BK en milieu liquide :

A - sont obtenus en 4 à 6 semaines

B - sont obtenus en 8 à 10 jours

C - permettent de déterminer la sensibilité aux substances de deuxième ligne

D - il existe plus de faux sensibles et de faux résistants pour l’éthambutol et la streptomycine par

rapport à la méthode de référence

E - ces méthodes sont peu coûteuses et de réalisation aisée dans les pays aux ressources limitées

4/ Un diagnostic moléculaire rapide et fiable est possible par la détection de gènes

associés aux principales résistances :

A - pour la rifampicine et l’isoniazide directement sur un prélèvement positif au direct

B - par hybridation sur bandelettes pour la rifampicine avec l’innolipa RifTB

C - la mutation sur l’inhA est responsable d’une résistance de bas niveau à l’isoniazide croisée avec

une résistance à l’éthionamide

D - la mutation du gène pncA est responsable de la résistance à l’éthambutol

E - les mutations des gènes GyrA et GyrB sont responsables de la résistance aux fluoroquinolones

5/ Quel protocole doit être utilisé en attendant les résultats du deuxième

antibiogramme ?

A - pyrazinamide

B - éthambutol

C - amikacine

D - fluoroquinolone

E - PAS

F - éthionamide

G - cyclosérine

H - linézolide

I - capréomycine

6/ Quelle est la durée habituelle de traitement d’une tuberculose multirésistante ?

A : 12 mois

B : 18 mois dont 1 mois d’aminoside ou apparenté

C : 18 mois dont au moins 12 mois après la négativation des cultures

D : 24 mois dont 6 mois d’aminoside ou apparenté

7/ Concernant les aminosides apparentés :

A - la streptomycine est à utiliser en première intention compte tenu du peu de résistance de

Mycobacterium tuberculosis à cet antibiotique

B - la résistance bacillaire n’est pas croisée entre la streptomycine et les autres aminosides

C - la résistance à la kanamycine n’est habituellement pas croisée à celle de l’amikacine

D - leur toxicité cochléovestibulaire est en relation avec l’accumulation de la substance dans les

liquides labyrinthiques

E - l’insuffisance rénale avec lésions des cellules tubulaires proximales est irréversible sous

aminosides

8/ Concernant les fluoroquinolones :

A - l’effet bactéricide des fluoroquinolones est dû à leur liaison à l’ADN gyrase

B - la résistance de classe n’est pas complète avec l’ensemble des fluoroquinolones

C - les fluoroquinolones ont une activité bactéricide précoce vis-à-vis de Mycobacterium

tuberculosis, mais inférieure à celle de l’isoniazide

D - la résistance aux fluoroquinolones se développe lentement

E - les principaux effets secondaires sont les troubles neuropsychiatriques, des atteintes

tendineuses, des troubles cardiaques et la photosensibilisation cutanée

9/ Concernant l’éthionamide :

A - l’éthionamide comme l’isoniazide est un dérivé de l’acide nicotinique inhibant la synthèse de

l’acide mycolique

B - l’éthionamide à haute concentration tissulaire est bactéricide vis-à-vis de Mycobacterium

tuberculosis

C - il diffuse bien dans tous les organes y compris le LCR

D - il diminue la neurotoxicité de la cyclosérine

E - associé au PAS, il majore les risques de dysthyroïdie et d’hépatotoxicité

10/ Citez les médicaments nécessitant des précautions d’emploi en cas d’insuffisance

rénale :

A - isoniazide

B - pyrazinamide

C - éthambutol

D - cyclosérine

E - éthionamide

11/ Citez les médicaments à utiliser avec précaution en cas de troubles psychiatriques :

A - isoniazide

B - pyrazinamide

C - cyclosérine

D - fluoroquinolones

E - PAS

 

Réponses

1/ Définition de la tuberculose ultrarésistante (OMS révisé en octobre 2006) :

La réponse est : C

2/ L’incidence mondiale de la tuberculose multirésistante est évaluée à :

La réponse est : B

3/ Les résultats des méthodes de cultures du BK en milieu liquide :

Les réponses sont : B, C, D

4/ Un diagnostic moléculaire rapide et fiable est possible par la détection de gènes

associés aux principales résistances :

Les réponses sont : A, B, C, E

5/ Quel protocole doit être utilisé en attendant les résultats du deuxième

antibiogramme ?

Les réponses sont : D, E, F, G, I ou A, D, E, F, G, I

6/ Quelle est la durée habituelle de traitement d’une tuberculose multirésistante ?

Réponse : C

7/ Concernant les aminosides apparentés :

Les réponses sont : B, D

8/ Concernant les fluoroquinolones :

Les réponses sont : A, C, E

9/ Concernant l’éthionamide :

Les réponses sont : A, B, E

10/ Citez les médicaments nécessitant des précautions d’emploi en cas d’insuffisance

rénale :

Les réponses sont : toutes les réponses sont justes.

11/ Citez les medicaments à utiliser avec précaution en cas de troubles psychiatriques :

Les réponses sont : A, C, D

 

 

 

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